**LA JUSTICE N’EXISTE PAS : Un cri d’alarme sur l’inégalité des poursuites internationales**
Dans un discours poignant, un intervenant met en lumière l’absurdité de la Cour pénale internationale (CPI), dénonçant son incapacité à juger les puissants tout en se concentrant exclusivement sur les dirigeants africains. “Pourquoi les crimes de guerre en Irak, en Syrie ou en Afghanistan restent-ils impunis ?” s’interroge-t-il, affirmant que les véritables coupables échappent à la justice. La CPI, fondée pour mettre fin à l’impunité, semble ne viser que les nations les plus vulnérables, laissant les grandes puissances libres de leurs actions.
Ce cri de désespoir résonne alors que l’intervenant souligne l’absence de personnalités occidentales dans le registre des condamnés, posant la question : “La justice est-elle sélective ?” Les voix qui s’élèvent en faveur d’une justice équitable sont étouffées, et la colère monte face à un système perçu comme biaisé et partial. Les pays africains, en particulier, commencent à remettre en question leur participation à cette institution qu’ils jugent injuste.
Le temps est à l’urgence. Les nations doivent se rassembler et réfléchir à la création de leur propre tribunal pour juger leurs leaders, sans l’influence extérieure qui semble toujours les condamner. “Assez de l’impunité !”, crie-t-il, appelant à une solidarité continentale. Les pays comme le Burundi et le Kenya prennent déjà des mesures pour se distancer de la CPI, illustrant un mouvement croissant de rejet face à une justice jugée inéquitable.
Il est temps de briser le silence et de revendiquer un système où chaque acte criminel, qu’il soit commis par un dirigeant africain ou occidental, soit jugé de manière égale. La justice n’est pas un luxe, mais un droit fondamental.