**Les Partis Pris : “Retraites, tous perdants !”**
Dans une tournure dramatique, le conclave sur les retraites à Bemous Papam semble se diriger vers un échec retentissant, laissant les Français dans l’incertitude. François Baou, Premier ministre, a convoqué d’urgence les partenaires sociaux dès l’aube, espérant éviter un naufrage total de ce dialogue social inédit. Mais les tensions montent au sein de l’Assemblée nationale, où le Parti Socialiste menace de déposer une motion de censure, accusant le gouvernement de trahison.
Les syndicats, qui avaient misé sur des avancées cruciales concernant les femmes et la pénibilité, se retrouvent déçus. La renonciation à l’âge de départ à la retraite de 64 ans, au profit de 62 ans, est perçue comme un compromis insuffisant. Les discussions s’enlisent, et le spectre d’une crise politique plane sur la France, exacerbant le sentiment d’impuissance face à des dirigeants incapables de trouver un consensus.
Simultanément, sur la scène internationale, l’Air Force One de Donald Trump atterrit à Amsterdam pour un sommet de l’OTAN, où il appelle les Européens à augmenter leurs budgets de défense. Dans ce contexte, la question des “dividendes de la paix” refait surface, alors que l’Europe peine à atteindre les objectifs fixés.
Les événements s’accélèrent, et la situation devient critique. À 20h, un nouveau rendez-vous crucial est prévu, mais l’avenir des retraites et la stabilité politique de la France sont en jeu. La population, déjà exaspérée, attend des réponses. Le temps presse, et chaque minute compte dans cette lutte pour l’avenir des retraites et la confiance dans le gouvernement. Les Français sont en droit de se demander : qui sortira vainqueur de ce duel politique, et à quel prix ?