**Les Partis Pris : “N’enterrons pas trop vite le NFP”, “Accès à la propriété, heureux héritiers…”**
Dans un contexte politique incertain, Amnou Chelmani souligne l’importance de ne pas précipiter la fin du NFP, malgré les tensions croissantes. Alors que la dissolution du gouvernement pourrait survenir à tout moment, les alliances entre partis de gauche restent fragiles. Rappelons-nous qu’en 2024, Emmanuel Macron avait anticipé la division des partis, ce qui avait permis une montée des députés du bloc central. Aujourd’hui, Chelmani évoque un “NFP rationalisé”, une nouvelle formule qui pourrait émerger, même si le paysage politique est en pleine mutation.
Les écologistes, qui pourraient s’allier à LFI, se retrouvent face à un dilemme, alors que le Parti socialiste, représenté par Raphaël Gluxman, semble déterminé à se distancier de LFI. Les déclarations de Boris Vallot et Patrick Caner montrent que des alliances électorales pourraient se former, mais sans engagement programmatique. La survie du PS est en jeu, surtout face à la menace du Rassemblement national.
Dans le même temps, la question de l’accès à la propriété s’intensifie. Une étude de l’Institut Montaigne révèle que l’héritage devient la voie principale vers la propriété en France, alors que 73 % des Français estiment qu’il est essentiel d’être propriétaire avant la retraite. Pourtant, les classes moyennes se sentent exclues, avec des politiques publiques jugées insuffisantes. D’ici 2050, la “grande transmission” d’un patrimoine colossal pourrait changer la donne, mais les inégalités perdureront.
La tension monte, tant sur le plan politique qu’économique. Les acteurs du paysage français doivent naviguer dans un environnement complexe, où les choix d’aujourd’hui détermineront les luttes de demain. La dissolution imminente pourrait redéfinir le paysage politique, alors que l’accès à la propriété demeure un enjeu crucial pour les Français. Restez attentifs, car la situation évolue rapidement.