**Hôpital frappé : Israël veut faire payer l’Iran**
Une journée noire pour Israël : un raid massif a frappé l’hôpital Soroka à Bérsheva, le plus important depuis le début de la guerre. Ce matin, plusieurs villes, dont Jérusalem et Tel Aviv, ont été secouées par des détonations assourdissantes alors que des missiles iraniens ont atteint des cibles stratégiques. Les autorités israéliennes, sous le choc, promettent une riposte sévère, désignant directement le guide suprême iranien, Ali Khamenei, comme responsable.
Benjamin Netanyahou a exprimé sa colère, affirmant que Téhéran paierait un prix fort pour cette attaque. Le ministre de la Défense a même menacé d’éliminer Khamenei, marquant une escalade verbale inédite dans le conflit. Les médias iraniens, quant à eux, justifient l’attaque en affirmant que l’hôpital abritait un centre de commandement militaire, une affirmation que les autorités israéliennes contestent.
Les conséquences de cette frappe sont désastreuses : bien que l’hôpital n’ait pas enregistré de victimes, l’impact psychologique est immense. 250 patients ont été évacués vers d’autres établissements, tandis que les médecins sur place expriment leur choc face à une violence sans précédent. Le système de défense israélien, traditionnellement efficace, montre des signes de faiblesse, laissant craindre de futures attaques.
Cette escalade intervient alors qu’Israël se prépare à intensifier ses frappes offensives en réponse. Les experts estiment que le pays pourrait faire face à une guerre d’usure, avec des munitions s’épuisant rapidement. Le temps presse pour Israël, qui doit agir vite pour contrer les menaces iraniennes croissantes. Les yeux du monde sont rivés sur cette situation explosive, où chaque seconde compte.