**Usines, avions… la série noire pour Moscou**
La nuit dernière, la Russie a été secouée par une nouvelle attaque dévastatrice : une raffinerie de pétrole à Engels, située à 600 km de la ligne de front, a été ravagée par les flammes suite à une opération de drone menée par l’Ukraine. Ce coup de semonce illustre la détermination ukrainienne face à l’agression russe, alors que les forces ukrainiennes intensifient leurs frappes en profondeur sur le territoire ennemi.
Le gouverneur de la région de Saratov a confirmé l’incendie, sans faire état de victimes, mais la portée stratégique de cette attaque est indéniable. Cette raffinerie, déjà ciblée en janvier dernier, alimente une base militaire cruciale, l’aéroport d’Engels D2, ce qui soulève des questions sur la défense des infrastructures vitales russes.
Les experts militaires s’interrogent sur la négligence de l’armée russe, qui semble incapable de protéger ses installations critiques contre les frappes ukrainiennes répétées. Les drones ukrainiens, bien que moins puissants, frappent des cibles relativement faciles, infligeant des dommages économiques et militaires considérables.
Dans le même temps, un autre incident a eu lieu en Russie, où une locomotive de secours a déraillé à Belgorod après une explosion. Ce nouveau coup porté à l’infrastructure ferroviaire russe s’inscrit dans un schéma inquiétant d’attaques ciblées, renforçant la pression sur le Kremlin.
Les Ukrainiens, galvanisés par leurs succès, continuent de frapper là où cela fait mal, tandis que la Russie peine à maintenir son avance. La tension monte alors que les deux camps se livrent à une guerre d’attrition, et les récents événements laissent présager une escalade des hostilités. La situation demeure volatile, et chaque jour apporte son lot de surprises sur le front.